En fait, j'ai une troisième question à poser, madame la présidente, parce que j'essaie de comprendre le mécanisme.
Monsieur Gibelin, vous avez été informé assez vite, très vite qu'il s'agissait de M. Benalla. Vous voyez qu'à côté de lui se trouvent des fonctionnaires de police placés sous votre autorité, qui ne réagissent pas. Cela ne justifiait-il pas que de premières investigations soient effectuées ?