Je vous confirme, monsieur le député, que nous n'étions que trois. Il n'y a rien de surprenant à cela : il s'agissait de la gestion courante des abords du palais de l'Élysée. Ce sont des choses toutes simples : les fonctionnaires de police relevant de mon autorité doivent orienter des véhicules se rendant à l'Élysée par la bonne cour, la bonne porte, etc. ou encore gérer les problèmes liés au voisinage, avec les commerçants du faubourg Saint-Honoré, voire de la place Beauvau. Ce sont des problèmes de communication. Beaucoup de problèmes se règlent d'officier à officier, parce qu'un officier de chez moi commande la compagnie de garde de l'Élysée. Cette réunion a été faite à ce niveau-là. Je ne peux pas vous en dire plus.