La parole est libre à l'Assemblée nationale !
À moins que cette nouvelle convocation n'ait pour objet, comme nous le comprenons, de détourner l'attention vers la préfecture de police de Paris et vos services, à qui on veut imputer des responsabilités dont pourraient être comptables des services de l'Élysée qu'on nous empêche d'auditionner : je ne vois pas pourquoi, en effet, nous ne pourrions pas, à l'instar du Sénat, auditionner au minimum le secrétaire général de l'Élysée et le porte-parole du président de la République.