Au nombre de toutes les prérogatives qui conféraient à M. Benalla un incontestable pouvoir figurait l'autorisation de port d'arme. Nous nous interrogeons non seulement sur la nécessité de ce port d'arme mais également sur le fait qu'il a été délivré sans l'arrêté ministériel nécessaire : y a-t-il eu des pressions en ce sens ?