À chaud, on n'a pas le temps. Pendant une opération de maintien de l'ordre, le regard est plutôt porté devant que derrière : les effectifs civils évoluent davantage derrière nos lignes que devant, pour des raisons de protection. Notre attention est davantage focalisée sur la menace que sur les personnes qui sont censées travailler avec nous. Non, leur comportement ne nous a pas interpellés.