Je m'associe aux félicitations de mes collègues pour la gestion de cette manifestation, qui était très compliquée. J'ai cru comprendre que ce sont surtout les forces de l'ordre qui ont été blessées et que les dégâts étaient essentiellement matériels, ce qui prouve que vous avez su gérer la situation au mieux, dans des circonstances qui étaient terribles.
Selon la presse, l'homme interpellé se serait rendu chez un médecin pour dire qu'il ressentait de fortes douleurs, mais seulement au bout d'une dizaine de jours. J'ai bien compris la chaîne de décision, mais je souhaite poser la question par acquit de conscience : avez-vous eu connaissance de plaintes, de douleurs de cette personne juste après l'interpellation ?