Ces faits, s'ils n'avaient pas été révélés par la presse, seraient restés un secret bien gardé par quelques hommes politiques et fonctionnaires, qui n'ont pas cru devoir les dénoncer, sans doute par crainte de la réaction du Prince. Des hauts fonctionnaires à la réputation jusqu'alors impeccable, un ministre de l'intérieur et un Président de la République ont préféré protéger un homme et ses dérives plutôt que de faire honneur à leur rang.