… et, en filigrane, d'engager la responsabilité, non pas du Gouvernement, mais du Président de la République lui-même, devant le Parlement. Vous n'y parviendrez pas. D'abord, parce que, contrairement à ce que vous essayez de nous faire croire, les événements du 1er Mai ne disent rien de la présidence de la République. Rien ! Ils ne mettent pas en jeu le fonctionnement de l'État autrement qu'à des niveaux subalternes