Ce n'est pas à vous que ces mots s'adressent, monsieur le Premier ministre, mais à celui qui vous envoie assumer ses fanfaronnades à sa place.
Le Président affirme que, depuis Capet, le monarque manque au pays. Nous croyons l'inverse, que nous n'avons pas fini de détrôner les monarques, tout le temps et partout, dans la cité comme dans l'entreprise.
Le grand Jaurès,