Mais nous sommes des progressistes : nous pouvons mêler nos voix à celles des Républicains pour faire éclater la vérité, mais pas pour gouverner.
Monsieur le Premier ministre, il y aura un avant et un après l'affaire Benalla. Nous sommes des politiques. Notre responsabilité est désormais de porter avec plus de force, plus de conviction et plus de confiance un projet de gauche respectueux de notre tradition sociale et définitivement ancré dans les évolutions de notre monde, de notre pays.
Monsieur Ferrand, j'ai entendu les propos que vous avez tenus tout à l'heure. Mais, monsieur Ferrand, il y a quelques mois, nous siégions dans le même groupe.