Il n'y a pas débat sur le fond : personne n'est hostile à cette extension. Il s'agit simplement d'un problème de moyens. Madame la rapporteure, a-t-on une idée des moyens qu'il faudrait engager si on maintenait cet article ? Le blanchiment n'est pas, on le sait, le principal chef de poursuites, mais en représente-t-il 3 % à 4 % – auquel cas les arguments de Mme la rapporteure et de nos collègues tombent –, ou bien 30 % à 40 %. Dans ce dernier cas, l'extension ne serait pas raisonnable.