Permettez-moi simplement de réagir : ce que nous vivons aujourd'hui est une illustration du mauvais fonctionnement du Parlement. Se tiennent simultanément la réunion de la commission des lois, qui est ouverte à tous, l'examen en séance publique d'un projet de loi essentiel sur l'avenir professionnel, qui doit tous nous intéresser même si nous ne siégeons pas dans la commission saisie au fond, et les travaux de la commission des finances sur un sujet qui nous occupe depuis longtemps. Je ne peux donc pas laisser tenir de tels propos ; j'ignore quel pourcentage des commissaires du groupe majoritaire est représenté aujourd'hui mais, de notre côté, nous sommes deux, soit 50 % des commissaires aux finances du groupe Nouvelle Gauche, et les deux absents auraient certainement aimé être avec nous, mais il se trouve qu'ils siègent dans d'autres réunions à l'Assemblée.