Je n'ai pas besoin de vous redire publiquement, madame la présidente, le trouble dans lequel m'ont plongé les insultes que vous avez reçues, à tel point que je les ai parfois prises pour moi : il est impossible que l'on puisse insulter une femme ou un homme, a fortiori un élu qui s'engage pour son pays au prix, parfois, de certains sacrifices.
MM. Habib et Diard ont dit deux choses que je trouve particulièrement intéressantes. M. Habib a affirmé que l'on ne saurait comparer l'affaire Cahuzac et l'affaire Benalla : en effet, les deux affaires sont incomparables. L'une a trait à une fraude organisée et à un détournement d'argent important...