Ma collègue Laurence Dumont et moi-même avons rédigé un rapport d'information consacré à la place des droits des femmes dans la diplomatie française. J'ai cru comprendre que les Birmanes ont un niveau moyen d'alphabétisation et d'éducation plus élevé qu'il ne l'est en général dans cette région du monde, et un début de croissance économique a pu faire penser que la situation allait s'améliorer, mais avec le sort fait aux Rohingyas et les déplacements de population, les femmes sont plus vulnérables et sans doute moins protégées. Pouvez-vous en dire un peu plus à ce sujet, qu'il s'agisse des migrantes ou des citoyennes birmanes ?