Madame la secrétaire d'État, si la révision du droit européen n'allait pas dans le sens des amendements présentés par MM. Descoeur et Potier, le Gouvernement irait-il alors plus loin ? Il s'agit tout de même de confiance – notamment s'agissant des compagnies d'assurances –, d'information du consommateur, bref, d'économie loyale.
Nous savons tous que certains de nos concitoyens sont défiants face au monde de l'assurance – parfois à juste titre, notamment dans le cas des expertises. J'invite Gouvernement à s'emparer du sujet : je ne vous jette pas la pierre, car cela fait vingt ans qu'on aurait dû le faire. Mais le projet de loi PACTE est une bonne occasion.