Parfois, les jolies histoires se terminent bien, Monsieur le rapporteur… Ce que j'ai dit n'est pas seulement une fable ou de l'impressionnisme ; c'est aussi la réalité de beaucoup de salariés qui tentent justement de reprendre des entreprises et qui sont dans un processus de mise en oeuvre des idéaux et de la réalité de leur projet qui permettent de maintenir des emplois. Il me semble donc que cet amendement va plutôt dans le sens de ce que souhaite la majorité, c'est-à-dire de faire en sorte que les salariés soient davantage partie prenante et qu'ils deviennent propriétaires collectivement de leur outil de travail et de leur projet professionnel.
C'est une belle fable que vous pourriez rendre réelle en étant favorable à l'amendement. Nous reviendrons sur cette disposition lors de l'examen du texte en séance publique.