Deuxièmement, nous devons maintenant faire en sorte qu'il y ait une mobilisation humanitaire d'anticipation, de prévention. La France y contribue elle-même financièrement, afin d'être en situation d'agir de manière préventive et d'avoir accès aux zones.
Troisièmement, comme l'a déjà dit le Président de la République – je le redis ici avec beaucoup de gravité – , la France est prête à réagir fermement, avec ses alliés, en cas d'emploi avéré de l'arme chimique par le régime.