Quatrièmement, alors que Bachar al-Assad ne voit qu'une issue militaire, nous ne voyons qu'une issue politique. C'est ce que nous avons dit hier soir au Conseil de sécurité et ce que dira le Président de la République à l'Assemblée générale des Nations unies la semaine prochaine.
Cette mobilisation est nécessaire pour éviter le pire. Le pire n'est pas encore sûr, mais il faut que chacun prenne ses responsabilités.