car votre collègue ne verra qu'une seule chose : son budget et ses finances. Je crains qu'il ne se fiche pas mal d'où il est, des conditions de travail de nos agriculteurs et de leurs revenus !
Si vous, ministre de l'agriculture, ne tapez pas du poing sur la table à ce propos, nous sommes morts. Là encore, cela ne concerne pas seulement les laitiers, mais tous les métiers de l'agriculture qui emploient de la main-d'oeuvre, qu'il s'agisse des producteurs de tomates, de carottes, de choux-fleurs ou d'oignons.