Si nous avions abordé ces questions, monsieur le ministre, nombre de nos débats sur les prix, sur l'environnement, sur le rapport de l'homme à l'environnement et aux animaux auraient trouvé, j'en suis sûr, une issue très différente et autrement plus porteuse pour nos agriculteurs. Vous ne l'avez pas souhaité. Pire : vous profitez de ce texte pour porter, presque subrepticement, un coup fatal à la dimension départementale de nos chambres d'agriculture, en contraignant celles-ci à une régionalisation qui va isoler encore un peu plus les agriculteurs de nos territoires.