Monsieur le ministre, je vous remercie de votre réponse et vous sais sensibilisé à ce sujet.
Je voudrais pour ma part aller dans votre sens et rappeler combien le Président de la République a fait de même, puisqu'il a affirmé : « Je ne serai pas le président qui savait mais qui n'a rien fait ».
Je vous remercie donc, monsieur le ministre, de votre réponse. Nous savons désormais quelle est notre marge de progression, notamment dans le cadre des négociations européennes.