Cet amendement tend d'abord à insérer dans le texte le terme « équitable », puis à rappeler que nous devons conforter l'agriculture vivrière et familiale, qui s'inscrit dans une démarche de transition écologique. Il est très important que nous montrions un cap et sachions où nous voulons aller, quel type d'agriculture nous voulons soutenir. C'est très important au moment où, dans les instances internationales, en particulier au sein de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture – FAO – , et en lien avec les accords de Paris, notre pays a vocation à soutenir une agriculture qui soit à taille humaine et s'inscrive réellement dans le chemin difficile, exigeant, mais tellement nécessaire de l'agroécologie.