J'entends ce qui est dit, mais les parlementaires sont libres d'être en séance ou de ne pas y être : c'est leur liberté et leur choix. Les citoyens regardent la manière dont les choses se passent. J'ai été parlementaire au cours du quinquennat précédent ; je sais que le déroulement de nos travaux peut donner lieu à une difficulté de compréhension. Nous avons eu plusieurs fois à subir les foudres de nos concitoyens voyant débattre dans l'hémicycle une vingtaine de députés – parfois moins – à des heures tardives. Mais, pendant ce temps, d'autres siégeaient en commission ou étaient en circonscription à faire leur travail.