Le choix d'imposer une obligation, monsieur Lurton, vient du fait que les clients n'osent pas forcément demander un doggy bag lorsqu'ils ont peur de se voir opposer un refus. Quant à l'amendement de M. Garot, il me semble que la « mise à disposition » suffit ; aux restaurateurs qui le souhaitent d'en tirer un argument commercial.