Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, nous en arrivons à la question dite du respect du bien-être animal. Laissez-moi vous dire à cette tribune que nous en sommes loin, et même, très loin, et que ce projet de loi ne changera pas grand-chose. Quelques mesures d'affichage, ici et là, pour montrer qu'on prend en charge, marginalement, la question de la condition animale dans les élevages. Mais sinon, un seul refrain : « Il faut faire confiance à la filière ».