Je ne pense pas en effet que tous les engagement, les actions, les travaux qui ont été lancés depuis le mois de juin l'auraient été s'il n'y avait pas eu ce débat, ce vote et cette réaction de la société civile, des associations, des agriculteurs aussi, qui ont réalisé que la volonté de sortir du glyphosate était bien plus forte que beaucoup d'entre nous ne le pensaient. Vraiment, je tiens à tirer mon chapeau à ceux qui ont voté pour l'amendement à l'époque, parce qu'il nous a permis de lancer le débat au niveau pertinent.
Où en sommes-nous, trois mois et demi et quelques heures plus tard ?