Laissez-moi terminer car ce sujet me tient à coeur, à la fois parce qu'il est important et qu'il est au coeur de notre travail.
Si nous prenons cette décision ce soir, je crains que tout ce qui s'est mis en branle depuis trois mois, un peu sous l'effet de la peur, beaucoup du fait de la responsabilisation que nous avons ensemble imposée à la France, ne s'arrête. Aujourd'hui en effet, dans toutes les filières, un certain nombre d'acteurs se sentent responsabilisés par la demande publique qui s'impose à eux.
Imaginons que ces amendements ne soient pas adoptés ce soir. Une mission parlementaire a été lancée, qui ne l'aurait sans doute pas été il y a trois mois et demi. Je vous rappelle qu'elle est conduite par deux députés, l'un qui avait voté pour, l'autre qui avait voté contre.