Sur l'élevage cunicole, il n'y a ni engagement, ni échéance. Sur le broyage des poussins vivants, un engagement, mais pas d'échéance. Enfin, sur ce dossier ô combien important, un engagement et une échéance.
Je vous ai bien écouté et je vous fais confiance : vous m'avez convaincu. Mais je ne représente pas tous les Français. Moi, j'ai confiance en vous, mais les Français n'ont plus confiance en nous. Et, pour être clair, je pense que le fait de fixer une échéance de trois ans et de la graver dans le marbre de la loi pourrait être un moyen de retisser un lien de confiance avec les Français.