L'idée n'est pas d'ôter toute liberté dans la contractualisation du blocage et de rendre celui-ci obligatoire et systématique, mais de mieux le redéfinir. Il s'agit de mettre fin à l'hypocrisie générale : entre la date précise à laquelle on s'est engagé à bloquer les comptes courants et l'année suivante, ceux-ci demeurent totalement liquides, ce qui peut mettre en difficulté la trésorerie de l'entreprise. Je rejoins Bruno Bonnell : il faut que le blocage soit vraiment effectif.