En effet, le GEMRCN ne fonctionne pas. Pour le remplacer, nous avons créé, parce que nous misons sur la restauration collective et sa capacité à promouvoir une meilleure qualité alimentaire pour tous les commensaux, le comité national de la restauration collective. Il s'agit d'analyser les offres intégrées dans la restauration collective et l'évolution de la qualité nutritionnelle des repas. Il faudra compter également avec la boîte à outils Localim, guide d'achat pour les opérateurs et les gérants des achats dans les collectivités, la lutte contre le gaspillage.
Tout cela sera mis en place en complément d'expérimentations en cours comme le Nutri-Score que nous avons lancé au mois d'octobre dernier avec le ministère de l'économie et des finances et le ministère des solidarités et de la santé. C'est autour de ces différents axes que nous lançons le comité national de la restauration collective.