La distribution de l'offre spécifique par les banques sera transparente, car publique.
À votre première question, je répondrai que nous pensons pouvoir faire mieux, et qu'il n'y a donc pas lieu de nous limiter par un texte de loi, par définition plus compliqué à réviser – au cas où nous parviendrions, par exemple, à abaisser le plafond à 150 euros ou à relever de 50 % au lieu de 30 % le nombre de bénéficiaires de l'offre spécifique. Afin de préserver cette souplesse, je préfère ne pas recourir à la loi.