Les sociétés n'ayant pas de commissaires aux comptes – nous avons déjà eu l'occasion d'aborder la question des seuils – sont obligées d'en solliciter un pour avoir recours à ce type d'opérations, lesquelles deviennent donc très lourdes et complexes. C'est un élément de sécurité, mais cela ralentit un peu les opérations. Quant à la question de la durée, aujourd'hui limitée à deux ans, je voudrais préciser que cela conduit à une obligation de reformuler les prêts : je ne suis pas certain que cette limitation dans le temps corresponde vraiment à la vie des entreprises.