Même avis. Je rappelle la logique de ce travail sur l'assurance-vie. Nous avons une divergence de fond avec M. Quatennens. La sécurité est une préoccupation louable, mais elle est aujourd'hui le premier critère de choix des épargnants, ce qui fait que nous avons un volume d'encours d'assurance-vie très important, de l'ordre de 1 600 milliards d'euros. Nous estimons que développer le financement en actions est bon pour les entreprises et pour le développement économique – et nous partons en l'occurrence de très bas puisque l'assurance-vie placée en actions représente des montants très faibles. Nous assumons de vouloir développer le financement en actions de l'assurance-vie.