Si c'est une faculté et non une obligation, cela ne me pose aucun problème. Vous avez compris que la philosophie de ce texte est d'éviter les obligations. Je rappelle qu'il existe cinquante-cinq millions de contrats d'assurance-vie en France. Que l'on offre une telle possibilité pour les assurés, oui ; qu'on l'impose, non.