Le choix du peuple, la voix du peuple, c'est très bien et je vous laisse l'usage de ces grands mots, mais, une fois encore, je n'y peux rien si ce n'est ni l'État ni le ministère de l'économie et des finances qui ont nommé une associée-gérante de Goldman Sachs, laquelle possède d'ailleurs certainement toutes les compétences requises, comme membre de la commission de surveillance, mais l'Assemblée nationale.