Nous allons retravailler cet aspect et je suis persuadé que nous allons parvenir à un compromis.
J'aimerais souligner l'importance des deux points soulevés par Gilles Carrez. Tout d'abord, il faut que la procédure garantisse l'indépendance et la compétence des personnalités, que celles-ci soient nommées par l'État ou par les assemblées. Ensuite, pour que tout cela fonctionne de manière efficace, il est indispensable que des moyens propres soient donnés à la commission de surveillance. Pour une opération aussi importante que celle qui va toucher la CDC et La Poste, les membres de n'importe quel conseil de surveillance disposeraient des moyens d'expertise et de conseil nécessaires. Il n'est pas normal que la commission de surveillance n'en dispose pas, car cela ne permet pas à ses membres de faire leur travail dans de bonnes conditions.