Quand on regarde ces amendements, on voit bien que nous sommes dans une position d'équilibre qui me convient très bien. Elle permet en effet d'avancer dans la direction d'une meilleure représentation des salariés au conseil d'administration. Je conçois parfaitement que M. Quatennens veuille aller plus vite, plus loin, et je reconnais bien volontiers que cette position est cohérente. Je conçois également parfaitement que le groupe Les Républicains veuille aller moins loin en proposant de relever le seuil à dix salariés alors que nous l'abaissons à huit, mais je maintiens que la position que nous avons trouvée me semble être une position d'équilibre.