Quand il s'agit d'infrastructures, la puissance publique doit garder la main.
Si vous décidez de poursuivre cette privatisation, nous nourrissons un deuxième sujet d'inquiétude : quels que soient les gouvernements, de gauche ou de droite, l'État a toujours été incapable de maîtriser les termes de la concession.