Peut-être n'étaient-ils pas contents, mais ils ont applaudi à notre projet de réforme. Pourquoi ? Parce que les présidents de CCI, qui sont des chefs d'entreprise, ont parfaitement conscience qu'il faut se transformer, évoluer, ne pas rester les deux pieds dans le même sabot en continuant à dépenser l'argent du contribuable sans mener, en regard de cela, une transformation des CCI.
Le ministre de la cohésion des territoires, Jacques Mézard, et moi-même avons reçu les présidents de toutes les CCI rurales, notamment du Cantal, du Gers et de la Creuse, et je continuerai à les voir et à les recevoir. Allez leur demander ce qu'ils ont pensé de nos échanges.
Pour ma part, j'estime que la situation actuelle n'est pas satisfaisante pour les CCI rurales, comme M. le rapporteur thématique l'a très bien rappelé.