Madame la présidente, madame la ministre, madame la présidente de la commission, monsieur le rapporteur, chers collègues, ce n'est pas sans émotion que je prends la parole à la tribune de notre Assemblée nationale en qualité de président du groupe d'amitié France-Cuba, mais aussi de franco-cubain. À ce titre, peut-être aurais-je dû faire un pas de côté. Monsieur le ministre de l'économie et des finances, pardonnez-moi, je ne vous avais pas reconnu.