Monsieur le ministre, je me souviens d'un échange que j'ai eu avec un artisan dans mon précédent métier, lorsque j'exerçais au sein d'une entreprise. Cette personne dirigeait une entreprise employant une quinzaine de salariés dans le secteur du bâtiment jusqu'au jour où, me dit-il, cela ne fut plus tenable. Il a déposé le bilan et créé une auto-entreprise, tout en travaillant au noir à côté, ce qui lui a permis de mieux gagner sa vie.