M. Fasquelle a raison. Il n'y avait là aucune intention de nuire ni aucun calcul. Les amendements sont identiques, et je corrige ce que j'ai dit : le Gouvernement émet un avis favorable à ces amendements identiques.
Rendons à César, une fois encore, ce qui appartient à César ; en l'occurrence, rendons à Fasquelle ce qui lui appartient. Il y a ici beaucoup de parlementaires, dont certains ont participé aux travaux de la commission spéciale tandis que d'autres viennent en séance ; tout cela est parfaitement normal. Mais reconnaissons que M. Fasquelle a participé à l'intégralité des cinquante-trois heures de débat en commission spéciale.