Il devra être revu de fond en comble, mais je commencerai par en discuter avec les premiers concernés, à savoir les élus guyanais.
Concernant le glyphosate, madame la députée, vous connaissez vous-même la réponse ; nous l'avons répétée. Le ministre de l'agriculture et de l'alimentation et moi-même sommes allés rencontrer les viticulteurs il y a une semaine en Gironde. Croyez-vous que la réponse qu'ils attendent soit « oui » ou « non » ? Ce qu'ils veulent savoir, c'est quelle sera la technique mise en oeuvre, combien cela coûtera, quand, et la faisabilité. Auront-ils la même productivité ? Aurons-ils les mêmes coûts à la sortie ?