Avec vous, personne n'est épargné : les jeunes actifs, les retraités, les familles, les employeurs : tous sont sommés de réparer votre politique hasardeuse, faite d'errances en matière de réformes structurelles. Le combat de la réduction de la dépense publique n'est pas une bataille comptable de l'opposition, c'est la clé de voûte pour notre souveraineté, pour la compétitivité de nos entreprises et pour le pouvoir d'achat des Français. Alors, monsieur le Premier ministre, quand allez-vous cesser de faire payer aux Français votre manque de courage réformateur ?