C'est cela que nous retenons aujourd'hui : nous aurions pu avoir une grande loi, une loi de mobilisation, une loi d'espérance, qui redonne du souffle, qui fonde pour la France de nouveaux rapports économiques entre les acteurs de l'alimentation, une nouvelle politique de l'alimentation. Rien de tout cela, hélas ! Dans ces conditions, nous ne voterons pas la motion de rejet préalable mais nous voterons contre le texte qui nous est soumis.