Je comprends que vous invoquiez des raisons pratiques, monsieur le rapporteur.
Cependant, nous ne pouvons que nous étonner de la capacité du monde de la finance à circuler à l'échelle du monde, par le trading haute fréquence ou intraday, par exemple, et de notre incapacité à travailler avec notre réseau d'ambassades et les directions des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi – DIRECCTE – pour qualifier une entreprise qui aurait pour principale activité le développement dans un pays tiers.
Sans sous-estimer la difficulté de ce travail et tout en comprenant vos réserves, je suis donc étonné que la puissance publique démissionne à ce stade.
Nous maintiendrons donc l'amendement, tout en espérant qu'une réflexion puisse être engagée pour que le privilège donné à cette forme d'économie ne se limite pas à nos frontières puisque, par nature, elle a vocation à être internationale.