Je ne suis pas d'accord avec le rapporteur sur ce sujet, car je partage le constat de mes collègues du MODEM et du groupe socialiste sur l'urgence de la cause associative. Il y a toujours plus de normes et de contraintes pour nos associations, qu'elles viennent des fédérations ou de l'État. Les dirigeants doivent assumer une responsabilité de plus en plus écrasante, et on demande aux associations d'adopter un fonctionnement sans cesse plus professionnel.
Que leur a-t-on imposé depuis le début de ce quinquennat ? La suppression des contrats aidés sans baisse de charges en contrepartie, ce qui est le point le plus douloureux.