Il vise à lutter conter la financiarisation de l'économie et ses conséquences désastreuses sur le reste de l'économie en proposant de séparer les activités de banque d'investissement et de banque de détail, ces dernières devant être limitées aux activités de crédit et de collecte des dépôts.
L'épargne populaire ne doit pas servir de contrepartie aux opérations sur les marchés financiers. La séparation stricte des activités doit aller beaucoup plus loin que la loi bancaire de 2013 du président Hollande – laquelle, selon le PDG de la Société générale, n'a séparé, en moyenne, que 1 % des activités.
Nous nous sommes inspirés de la loi no 45-15 du 2 décembre 1945 relative à la nationalisation de la Banque de France et des grandes banques et à l'organisation du crédit.