… l'entreprise ne pourra pas non plus gagner dans la compétition internationale. Leurs deux destins sont liés, monsieur Coquerel, que vous le vouliez ou non. Si nous voulons un champion mondial dans les compagnies aériennes, nous devons avoir un champion international dans les aéroports. Il peut être régulé, il peut être suivi – contrairement à ce que certains ont sous-entendu, la frontière n'est évidemment pas privatisée.
C'est une bonne opération, réalisée au bon moment, selon les bonnes méthodes.