Je constate aussi les contradictions d'une partie gauche de l'hémicycle – je ne citerai pas de parti – qui fustige les dividendes quand ils sont privés mais qui les vénère quand ils sont publics. Pour moi, les dividendes sont des dividendes, ils sont versés aux actionnaires, mais il n'y a pas d'un côté ceux qui sont formidables et, de l'autre, ceux qui sont absolument détestables. Là n'est pas la question.